Le blog
bouge ... Le blog est dorénavant sur une adresse séparée : http://memorialdormans.over-blog.com
Les
articles qui étaient publiés ici sont dorénavant sur ce nouveau blog. Vous
y trouverez en plus des dossiers résumant la situation de
l’association. L’objectif
est double : ·
ouvrir un
nouvel espace pour vos commentaires ou vos questions, ·
rendre à ce
site son objectif premier et unique : le travail de Mémoire. La page ci-dessous n’est donc
plus maintenue et disparaîtra progressivement. |
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d'accueil
Le blog, journal d’information de l’association du
Mémorial des batailles de la Marne, sur Internet Pourquoi ? Pour informer sur tout ce qui concerne
le Mémorial et son association historique Par
qui ? Aujourd’hui,
ce blog est le vecteur d’information des adhérents soucieux de
préserver leur association et la Mémoire. Comment ? Il se veut succinct, s’appuyant sur
les faits, et sans polémique. Il est ouvert aux échanges qui vont dans ce
sens. Il est guidé par le souci permanent du respect de la Mémoire et des
hommes.
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30 octobre 2009 « Les
anciens dirigeants ont choisi de mener en justice
les défenseurs de la Mémoire ! » Cette information des plus récentes a alimenté une bonne
partie de la réunion du conseil d’administration de l’association
du 24 octobre 2009. Voici une synthèse de cette réunion. Vous allez le voir par les
smileys, certains points nous donnent malgré tout le sourire. D’autres
beaucoup moins. En préambule, le président remercie
les administrateurs qui sont présents (ou excusés). Cette présence
indéfectible nous conforte ... alors que le maire de Dormans ne la facilite
guère en nous refusant une salle pour la 3ème fois de suite, 48h
avant la réunion. Et cela finit par faire sourire ! Puis nous passons à l’ordre du jour : La déclaration en
sous-préfecture
Le 14 septembre : Conformément à
nos statuts et à la loi de 1901, les membres du bureau ont déposé en
sous-préfecture les modifications concernant la composition du conseil
d’administration et du bureau. Cinq jours plus tard, un récépissé confirmait cet
enregistrement. Après 18 mois de carences dans les documents de la part des
anciens dirigeants, nous pouvons enfin nous féliciter de retrouver les
chemins réglementaires. La restitution des
documents par les anciens dirigeants C’est moins positif de ce côté. Après courrier recommandé le 5 octobre, nous avons attendu les
anciens président, secrétaire et trésorier le 19 octobre, ils n’ont pas
daigné se déplacer (1).
Pire, plutôt que la médiation que nous prônons, ils ont choisi la voix juridique :
C’est un courrier d’avocat qui a exprimé une fin de non-recevoir,
étayée ainsi « votre demande étant à l’évidence, en violation des
règles statutaires ». Nous
n’avons pas réussi à en savoir plus. Le bilan financier de
l’association Et là, le détail présenté par le
trésorier est totalement accablant pour
l’ancienne direction : ü la situation à leur arrivée (2 mai
2008) était de 55301 euros de liquidités ; ü la situation aujourd’hui
(arrêtée au 23 septembre 2009) est de 1832 euros. D’où vient cette situation de quasi-faillite ? ü Rentrées : elles sont à
l’évidence très inférieures aux années précédentes. Chiffrage en cours ü Sorties : nous avons relevé 133
mouvements pour un débit de 58447
Euros ! Nous n’avons pour le moment identifié qu’un seul
mouvement justifié ! ü Un
détournement ?
La question se pose, ne serait-ce qu’en voyant, au milieu de tous ces
mouvements, un mouvement de 24.000
euros vers l’association récemment créée par ces même dirigeants.
Et ce, sans aucune raison, et sans aucune explication ! ü Une
volonté de mise en faillite ? (2)
La question se pose également quand le
compte courant a subi dix mouvements d’agios en 5 mois. Et quand, après
les sorties signalées ci-dessus, le compte courant ne couvrait plus le
prochain prélèvement à venir de 337 euros ! Les actions à venir
Devant cette situation navrante, des
actions sont proposées au conseil d’administration et sont
acceptées : ü Le bureau va devoir prendre contact avec un avocat pour défendre l'oeuvre de
Mémoire assignée à l'Association par ses statuts et pour rétablir ses droits.
Les pistes d'action ont été étudiées en cours de réunion et n'ont pas fait
l’objet d’opposition. Une ou plusieurs seront choisies et seront
présentées ultérieurement dans ces lignes. ü Le bureau accepte le soutien proposé
d’un expert-comptable qui, outre une sympathique disponibilité,
présente des compétences pointues dans les domaines comptable et associatif. ü Le bureau va lancer l’appel à
cotisation afin de pallier le gouffre financier constaté. Le bureau avait
initialement souhaité retarder cet appel en raison des astuces de
l’ancienne direction qui ont permis à celle-ci d’encaisser des
cotisations au profit de la nouvelle association mais se voit contraint par
la situation. Aussi cet appel insistera sur le côté volontaire de la cotisation,
et n’influera en rien sur l’adhésion. Conclusion
En fin de réunion, le président
remercie les administrateurs pour leur cohésion dans cette situation
qu’aucun n’a voulue. Il semble que par bonheur, les mouvements
financiers inadmissibles et l’attitude procédurière de l’ancienne
direction soudent les vrais défenseurs de la Mémoire. L’élection d’adjoints aux
postes du bureau se fait à l’unanimité, confirmant cette unité. - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - - - (1) Post-réunion : par courrier à nouveau recommandé le
26 octobre, nous avons tenté une dernière proposition de rencontre ... avec
le même insuccès. (2) La cessation de paiement aurait permis à la commune
d’avoir tout latitude, au vu de la convention : « ...
pourra être résiliée de plein droit, sans préavis ni indemnités, en cas
de faillite ou d'insolvabilité notoire de l'association. Dans ce cas, la
commune s'engage à poursuivre la mission ... » |
30 septembre 2009 Une bonne nouvelle
et une ... moins bonne N’y allons pas par quatre chemins : il nous reste
encore une source d’inquiétude, mais nous sommes heureux, alors nous
préférons commencer par cette bonne nouvelle : L’association
historique du Mémorial des batailles de la Marne est
de nouveau officiellement sur ses rails ! Après avoir été - Dirigée de façon arbitraire depuis mai 2008, - menacée de dissolution par ses trois dirigeants en octobre
2008, - sauvegardée grâce au vote de ses adhérents en mars 2009, - mise totalement sous l’éteignoir par ces mêmes
dirigeants depuis cette date, - relancée par une poignée d’administrateurs fidèles en
juin 2009, - appuyée par les mêmes adhérents au cours de l’été, l’association reconstituait le 5 septembre dernier un
conseil d’administration et un bureau fiables (lire notre page de blog
précédente ici),
déclaration faite en sous-préfecture d’Épernay et confirmée par
récépissé 10 jours plus tard. Depuis
le 15 septembre, l’association peut reprendre ses activités !! Merci ! Merci aux adhérents et aux administrateurs fidèles, merci aux
soutiens par mail, par courriers, dans les forums, dans les manifestations
historiques, merci de nous avoir lus, merci d’avoir cherché à comprendre,
merci d’avoir trié le bon grain de l’ivraie, ... L’association va d’abord reprendre ses activités
réglementaires et associatives par une réunion du conseil
d’administration aux environs du 24 octobre. Pour que l’association reprenne ses activités
mémorielles, il reste quelques éléments de gestion à obtenir de la part des
anciens dirigeants. Cela ne va peut-être pas être facile tant cette gestion
était pour le moins approximative. Mais surtout, et c’est là qu’est la nouvelle moins
bonne, pour ne pas dire alarmante :
Où
est passé l’argent de l’association ? Le dernier bilan validé par conseil d’administration, en
date du 2 mai 2008, est de 55281,00 euros (n’incluant pas les stocks
matériels). Mais, en juin 2009, des mouvements massifs ont vidé les comptes bancaires qui
contenaient ces fonds. Est-ce à dire, comme nous le laissions imaginer sur un ton
malicieux dans l’édito de ce jour, que des vers peu reluisants ont
préféré les lueurs argentées aux lumières de la Mémoire ? Nous avons demandé aux dirigeants de nous
‘éclairer’ pleinement avant
le 19 octobre. Nous préférons croire pour l’heure qu’ils ont
eu la sagesse de mettre ces sommes sur un nouveau compte de
l’association historique. Ce serait maladroit, car il eut fallu l’accord du
conseil d’administration, mais ce serait moindre mal. Que se passera-t-il si
ces sommes ne sont pas restituées aux nouveaux dirigeants, avant le prochain
conseil d’administration ? Là non plus, nous n’irons pas par quatre chemins. Cela fait plus
d’un an que nous proposons une médiation, de trouver un terrain
d’entente. Aujourd’hui, les choses sont graves, les trois
dirigeants se sont enfermés dans une attitude contraire à la bonne marche de
l’association. Aussi, Nous demandons formellement la
restitution de la somme indiquée ainsi que tous les éléments permettant
la vie de l’association. Rappelons que vu l’importance des sommes, si le détournement
de fond est avéré, il est du ressort du droit pénal. Et, dans le cadre
d’une association, les trois dirigeants seront traités solidairement.
Pour reprendre l’image de notre édito, souhaitons que
les vers égarés retrouvent la bonne lumière. Il est encore temps avant
qu’ils ne se brûlent les ailes. |
9 septembre 2009 Association du
Mémorial des batailles de la Marne - Compte-rendu de l’assemblée
générale - Ce samedi 5 septembre, malgré des blocus de dernière minute (1),
l’assemblée générale de notre association du Mémorial des batailles de
la Marne s’est tenue comme prévu. En voici un bref compte-rendu, extrait du procès-verbal
établi. Discours d’accueil En ouverture de séance, M. Auguste HERY rappelle aux adhérents
de façon synthétique les diverses
carences et entraves et surtout le mutisme
total des dirigeants élus en avril 2008. C’est ce black-out persistant qui a conduit une partie
des administrateurs, lors du conseil d’administration du 15 juin, à constater la démission de fait de ces dirigeants et à engager des actions
de sauvegarde de l’association. Depuis février 2009, la sous-préfecture est informée de
l’ensemble de ces événements. Élection du conseil
d’administration M. Auguste HERY annonce ensuite le résultat du vote dont
le dépouillement s’est déroulé quelques minutes plus tôt : - Courriers
reçus : 154 ; votes exprimés : 149. - 25 administrateurs et
2 vérificateurs aux comptes sont élus avec un nombre de voix entre 142 et
149. Le travail à venir Lecture est alors donnée des grands axes qui vont guider
l’association dans les prochains mois. 1 - Une phase administrative orientée conciliation Afin de reprendre enfin le véritable travail de Mémoire, des
actions en lien avec nos obligations associatives vont être nécessaires. ·
Faire
le point sur les comptes de l’association, ·
Remettre
en place une organisation de travail pérenne. ·
Obtenir
le passage de témoin des anciens dirigeants. Espérons pour ce dernier point que ceux-ci auront la même
volonté conciliatrice que nous. Auguste HERY rappelle le contexte : Ces trois anciens dirigeants ont décidé en septembre 2008 la
création d’une nouvelle association, avec des buts légèrement
différents : la notre, guidée historiquement par le travail de Mémoire, puis la leur, orientée ‘tourisme de Mémoire’. On
regrette qu’ils n’aient pas eu la délicatesse d’en informer
au préalable le conseil d’administration. Aujourd’hui, ils ne peuvent, de bon sens, monopoliser la
direction des deux associations, encore
moins diriger celle dont ils ont demandé la dissolution et pour laquelle
ils ont délaissé toute activité pendant 16 mois.
Notre volonté est que chacune réalise le travail qu’elle
sait faire et le fasse de façon complémentaire et non antagoniste. Nous
prendrons attache avec les anciens dirigeants avec cet objectif. 2 - Une phase mémorielle orientée actions Après seize mois d’une inactivité forcée,
l’objectif est de remettre en route le travail de Mémoire. La dernière des actions de Mémoire remonte à avril 2008 et
c’est notre devoir de relancer cette activité. Nous le ferons, par
respect pour les soldats tombés, et aujourd’hui par respect pour les
familles qui ont souhaité et n’ont pu réaliser ces actions de Mémoire. Dans l’attente l’activité mémorielle est
‘compensée’ par une information dense, développée sur le site
Internet http://memorialdormans.free.fr. Arnaud HERY, animateur du site, prend à ce moment la parole
pour faire une présentation, en très grandes lignes de son contenu, actif en
permanence. Il insiste sur le côté échange qui a lieu avec de multiples
interlocuteurs, familles, passionnés, historiens ... Ce média moderne est un outil exceptionnel, mais qui ne doit
être que le support d’une présence réelle autour du Mémorial et
d’un recueillement qui ne doit pas faiblir. Élection des dirigeants En fin de cette assemblée générale, après une minute de
silence pour Madame EVERTS, cofondatrice de l’association, récemment
décédée, les adhérents sont invités à patienter, le temps que le conseil
d’administration élu se dote d’une équipe dirigeante. Quelques minutes plus tard, celle-ci est annoncée avec, comme - Président : M.
Maurice DEMESSANCE, - Trésorier : M.
Daniel OUY, - Secrétaire : M.
Auguste HERY. En prenant la parole pour la conclusion, le nouveau président
confirme cette volonté de conciliation.
Son passé d’ancien maire de Vincelles l’aidera en cela et aussi
son passé d’ancien combattant : « Quand on a combattu sur le
terrain les armes à la main, on ne fait pas la guerre pour une association,
on cherche un terrain d’entente. », dira-t-il. - o O o - (1) : Blocus de la part du maire (et secrétaire de
l’association) en nous refusant une salle de réunion. Puis blocus de la
part du président en écrivant à tous les adhérents (une première !) pour
déclarer la réunion illégale (ce qui bien sûr n’est pas). |
1er septembre
2009 Association du
Mémorial des batailles de la Marne : l’assemblée
générale aura lieu ! Chers adhérent(e)s, chers sympathisant(e)s, chers lectrices et
lecteurs,
Tout d’abord rappelons, pour
ceux qui l’auraient oublié, que M. ROBERT était le président de
l’association. Nous disons bien ‘était’ car malgré toutes nos sollicitations, · Les dirigeants élus depuis mai 2008,
dont le président, n’ont plus organisé une seule manifestation
mémorielle depuis 16 mois au sein de notre association. · Les obligations associatives ne sont
plus respectées (il n’y a plus de réunions, vous, adhérents, ne recevez
plus d’information...) · Pire, ces dirigeants ont tenté de
dissoudre l’association. Les adhérents l’ont refusé, mais
personne n’a été informé officiellement de cet acte majeur de
l’association. · Circonstance aggravante, nombre
d’entre vous ont été abusé en cotisant sans le savoir à leur nouvelle
association qu’ils ont présenté comme remplaçant la nôtre. · Et enfin, nos tentatives pour faire
vivre l’association se sont heurtées à un silence total : aucune
réponse, même à nos courriers
recommandés. En faisant le mort, ils espéraient étouffer
l’association. Donc, en juin, nous avons demandé à M.
ROBERT la tenue d’un conseil d’administration. Sans réponse de sa part, nous avons organisé un conseil
d’administration de sauvegarde, auquel il était convié ainsi que les
dirigeants, mais ce fut toujours le même silence. Nous avons donc été amenés, au cours de cette réunion, à
prendre les décisions suivantes : · En raison des carences et des silences
répétés de la direction élue, nous constatons
la vacance de la direction de l’association. · En conséquence, les membres présents
se déclarent de façon collégiale, dirigeants à titre temporaire. · Nous envisageons la tenue d’une
assemblée générale, pour corriger cette situation, et en ferons part à l'ensemble des adhérents par
courrier. Au cours de l’été, 160
adhérents ont entendu cette information et ont établi une demande expresse de
réunion de l’assemblée générale. 160 adhérents ont souhaité cette
réunion, soit plus de 50% ! Alors, aujourd’hui, puisque M.
ROBERT souhaite reprendre contact, nous disons de façon posée : · Cette
réunion n’a rien d’illégale lorsqu’elle est demandée par la majorité des adhérents,
cela tombe sous le sens. · Si toutefois le bon sens ne suffit
pas, rappelons que l’article 19 de nos statuts prévoit que
l’assemblée générale peut-être convoquée sur demande écrite du tiers de ses membres, là,
c’est 50 % qui le demandent. · Nous l’avons dit depuis le
début, la
sous-préfecture est tenue informée depuis février des carences et des
entraves répétitives, ainsi que de l’ensemble de nos actions pour y
faire face. · Décider 4 jours avant, et de manière
unilatérale, d’empêcher sa tenue montre une volonté d’entrave
supplémentaire : M. ROBERT avait connaissance officieusement depuis juin
et le secrétaire de l’association (maire de Dormans) le savait
officiellement depuis le 16 août. · Quant à la présidence de
l’association, la majorité des adhérents a pris conscience
qu’elle n’était plus assurée, nous souhaitons que M. ROBERT en
tire les conséquences nécessaires.
Arnaud HERY administrateur élu et administrateur
transitoire Voici donc la situation que nous défendons, En respect des adhérents soucieux de la Mémoire qui ont
manifesté la volonté de s’exprimer. En respect des soldats à qui nous rendons hommage. |
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21 juin 2009 : Le point sur
l’association Voici un point d’information sur la sauvegarde de notre
association du Mémorial des batailles de la Marne : Rappelez-vous : Le 13 mars, les dirigeants tentaient de dissoudre
l’association mais heureusement, ils étaient désavoués par les adhérents. Depuis cette
date, plus rien de leur part, c’est le black-out total : aucune réponse aux courriers, plus une seule
réunion et bien sûr, plus aucune action associative. Alors, quelques ‘irréductibles gaulois’ ont décidé
de résister au musellement : Nous avons réuni ce 15 juin un conseil d’administration
refondateur. Malgré le refus
du maire de nous octroyer une salle, et malgré la pression, nous
avançons. La pression ? Parmi les participants à la réunion et
parmi ceux qui s’étaient faits excuser, certains ont demandé à rester
anonymes, afin d’éviter toute confrontation verbale avec les
‘administrateurs de la dissolution’ ! Cette réunion a eu comme objectif de faire le point sur les
carences du bureau et de mettre en place les actions correctives : Le procès verbal de carence : D’une part, l’association n’est plus
administrée : ·
Tenue
très aléatoire (6 sur les 14 dernières) des réunions du conseil
d’administrations (article 11 des statuts), ·
Pas
de renouvellement du conseil d’administration (article 9), ·
Plus
aucune réunion n’est tenue ou même programmée, ·
Plus
aucune communication aux adhérents. ·
Refus
de répondre à nos courriers (mails ou recommandés), ·
Refus
de participer à cette réunion. D’autre part, ces dirigeants (et une partie des
administrateurs) ne sont plus légitimes auprès des 308
adhérents : ·
Par
leur tentative de dissoudre l’association, ·
Par
le rejet de la dissolution, de la part des adhérents, lors du vote en
assemblée extraordinaire du 13 mars, ·
Par
l’absence de compte-rendu aux adhérents (pas de procès-verbal de cette
assemblée, prévu par l’article 20) ; Les actions : ·
Devant
les carences répétées et l’absence des dirigeants à cette réunion,
ceux-ci sont reconnus démissionnaires de fait. ·
Les
administrateurs présents sont reconnus comme dirigeants transitoires pour
pallier ces carences. ·
Nous
contactons par courrier les 308 adhérents pour qu'ils demandent la
convocation d’une assemblée générale ordinaire, afin d'élire un
nouveau conseil d’administration. C'est fait ! Nous imaginons mal que les anciens dirigeants tentent de
reprendre les rênes. Vu les deux précédents votes d'adhérents, une
majorité nous soutient. Qui plus est, certains s’étonnent que les membres du
bureau et du conseil ayant demandé la dissolution n’aient pas présenté
leur démission, suite à l’échec de leur projet. De toute façon, quelque soit l’action des anciens
dirigeants, les gaulois vont résister : ·
Étape
par étape, nous tenons informée la sous-préfecture. ·
En
parallèle, nous faisons un gros travail d’information - coûteux, mais
qu’on espère payant - auprès de nos 308 adhérents. ·
Et
surtout, notre décision d’agir vient en respect de ce qui nous tient à
coeur : le respect des fondateurs illustres (1919), le respect des adhérents,
et surtout l'hommage durable aux combattants. Ces valeurs qui nous portent
nous confortent ! Adhérents, n’hésitez pas à faire connaître ce site
autour de vous. Sympathisants, n’hésitez pas à nous envoyer des messages de soutien, nous y
sommes sensibles. Nous espérons ainsi que bientôt, au sein de notre association
historique, nous ne reparlerons QUE de Mémoire. |
2 juin 2009 Le Phénix Quand
il sentait sa fin venir, le phénix mettait le feu à son nid et se laissait
consumer dans les flammes. Mais aussitôt, un nouveau
phénix renaissait de ces cendres. Quel est le rapport avec
l’association du Mémorial ? Mettre le feu à son nid,
c’était, en mars dernier, la tentative avortée de dissolution de
l’association. Et depuis cette date, les dirigeants
tentent une autre mise à mort, l’asphyxie lente. Plus une seule réunion, plus aucune
activité, ils ne communiquent plus, ils esquivent, ne répondent pas aux
recommandés, ... espérant probablement déclarer l’association éteinte
dans les faits. Dernière carence en date, la réunion
du conseil d'administration devait se dérouler début avril. Nous avons
sollicité les dirigeants qui, une fois de plus, n'ont pas répondu. Cette attitude n’a plus rien à
voir avec un travail de Mémoire. Nous vous l’avions dit, il
n’était pas question de laisser mourir l’association. Nous,
défenseurs de l’association historique, reprenons les commandes au nom
des adhérents. L’association
renaît avant même qu’elle ne soit en cendres. En substance, voici le courrier
d’action que nous avons adressé aux administrateurs de
l’association. Auguste HERY Dormans,
le 27 mai 2009 doyen des administrateurs Objet : Sauvegarde
de l’association du Mémorial des batailles de la Marne, Dormans
1914-1918 Objectif : Assurer la continuité de
l’association. Madame, Monsieur, Les administrateurs attachés aux valeurs fondamentales
de l’association, regroupés autour du doyen d’entre eux, ont le
devoir de suppléer à la carence des membres dirigeants, pour les raisons indiquées
ci-dessous : ·
Compte
tenu des résultats du scrutin de l’assemblée générale extraordinaire du
13 mars 2009 qui a rejeté le projet de dissolution de l’association, ·
Constatant
l’état de carence des membres dirigeants du conseil d’administration,
auteurs du projet de dissolution, ·
Constatant
que ceux-ci ont depuis instauré le silence le plus complet : absence de
réunions, réponses aux messages électroniques, refus des courriers
recommandés, etc., ... ·
Eu
égard aux 308 membres adhérents dont 248 étaient présents ou représentés à
l’assemblée générale extraordinaire, ·
Eu
égard à l’esprit qui animait à sa création (1919) la fondation du
Monument des Victoires de la Marne, dans sa mission définie dans
l’article 1 des statuts. Ces administrateurs assurent dorénavant, de façon
collégiale, la mission assignée à l’association historique. En
conséquence, dans le cadre des statuts, tous les administrateurs sont invités
à participer aux travaux de la
réunion du Conseil d’Administration qui se tiendra Lundi
15 juin 2009 à 16 heures Salle de garde du château de Dormans À l’ordre du jour : Aspects organisationnels de l’association Assemblée générale ordinaire Questions diverses (les questions sont à adresser au doyen
des administrateurs pour le 12 juin 2009) Le doyen des administrateurs Auguste HERY Tout est dans le texte de cette lettre : Pour les fondateurs 90 ans plus tôt, comme pour les 308
adhérents aujourd’hui, nous ne pouvons pas laisser éteindre une telle
association. C’est tout simplement une question de respect pour ces personnes et surtout pour les combattants auxquels
chacun rend hommage depuis tout ce temps. Continuer, mais comment ? Les carences de plus en plus nombreuses interdisent toute
activité de l’association, En paralysant l’association, les dirigeants empêchent le travail de
Mémoire, le devoir d’hommage pour lequel ils ont été élus. Ils n’ont plus aucune légitimité et nous reprenons la
barre d’un navire en perdition. La seule sortie raisonnable serait que ceux-ci
s’occupent de l’association qu’ils viennent de créer,
orientée ‘tourisme de Mémoire’, et laissent la main à ceux qui
veulent faire un vrai travail de Mémoire. Espérons qu’ils ne tentent pas d’empêcher cette
réunion qui aurait déjà du se dérouler depuis avril. Espérons que le 15 juin renaisse enfin l’association
historique du Mémorial avec ses vraies valeurs. Nous vous tiendrons bien sûr au courant. Dernière
minute : Le maire de Dormans nous refuse la
salle de réunion qui avait été accordée verbalement le 28 mai pour la tenue
du conseil d’administration du 15 juin. Deux raisons sont invoquées par le
maire (sans doute n’est-il pas sûr de l’une ou de l’autre) :
question de sécurité et demande non faite par les représentants légaux. Ces raisons nous paraissent
infondées : 1) Sécurité ? Nous supposons que
le maire ne craint pas qu’une
dizaine de sexagénaires (en moyenne) vandalisent les lieux, pas plus
qu’il ne craint la chute d’un ancien dans des locaux que tous
fréquentent depuis longtemps. La sécurité ne sous semble pas en danger. 2) Représentants légaux ? Depuis
le 13 mars, les représentants légaux ne répondent pas aux courriers
recommandés, accentuant les carences signalées précédemment.
L’association n’est donc plus administrée et nous sommes, de
fait, représentants légaux. Les défenseurs de la Mémoire ne
peuvent que constater les entraves qui
continuent. Nous, nous continuons à informer, à
chacun de se faire son opinion. Note : La réunion du conseil
d’administration du 15 juin est maintenue, dans un autre lieu mis à
notre disposition. |
3 avril 2009 : Que devient
l’association du Mémorial ? Le silence d’une part, ... Le 13 mars dernier, la nouvelle équipe dirigeante de
l’association cherchait à saborder l’association historique du
Mémorial des batailles de la Marne. Malgré un vote qui leur était
défavorable, ils tentaient tout de même de déclarer l’association
dissoute. Puisqu’ils étaient en totale contradiction avec les statuts,
ils se heurtaient naturellement à un refus catégorique des défenseurs de
l’association. La réunion se terminait de façon confuse. Depuis, plus rien ! La logique aurait été qu’ils tentent de confirmer par le
procès-verbal de réunion. Rien ! Puis, qu’ils déclarent en sous-préfecture la dissolution
qu’ils avaient annoncée. Rien ! Au moins qu’ils s’opposent à l’article du
journal régional L’Union, qui rendait compte la semaine suivante de la
non-dissolution. Toujours rien ! Que ce soit sur Internet, autour de Dormans ou même au delà,
on nous pose des questions, nombreuses, alors nous allons une fois de plus
tâcher d’y répondre. ... L’information
d’autre part. Oui, les dirigeants ont tenté de passer outre les statuts,
nous l’avons expliqué dans notre précédent article. Pour empêcher cette
manœuvre, nous avons agi immédiatement : - Nous avons une fois de plus tenté le
dialogue. Par mail, par courrier recommandé, nous avons demandé le
procès-verbal, nous avons demandé réunion du conseil d’administration
(qu’il y ait liquidation ou pas, il le faut), pas de réponse. Puisque nous savons qu’ils nous lisent, nous réitérons
ici ces demandes. - Afin d’empêcher toute action
irraisonnée (une dissolution en tapinois), nous avons pris contact avec la
sous-préfecture, contact avec un avocat, contact avec le Tribunal de Grande
Instance. D’autres contacts encore, différents, car nous ne voulons pas
que les choses se passent subrepticement. Pourquoi ce silence ? Espèrent-ils que nous nous lassions ? Ou bien ont-ils
compris l’incohérence de leur action ? - Si les dirigeants continuent de
répondre par le silence à nos propositions de dialogue ou s’ils
confirment la dissolution, nous tenterons une conciliation ou une médiation
judiciaires. Cette voie médiane aurait l’avantage d’éviter de
saisir la justice. Ce que nous ferons en dernier ressort car dès lors, ce
sera pour infraction dont auront à répondre nommément les
responsables. Comme l’écrit le Conseil Départemental d'Accès au Droit
de la Marne (CDAD), « Faire valoir ses droits, ce
n'est pas nécessairement saisir la justice, il convient d'abord de s'informer
[...] d'envisager d'autres démarches possibles permettant d'aboutir à un résultat
rapide et satisfaisant (conciliation, médiation…) ». Comme le faisait remarquer avec bon sens M. D. en quittant en
cours de réunion l’assemblée du 13 Mars, tout ceci est bien triste pour
la Mémoire. C’est aussi beaucoup de temps perdu. Les dirigeants se sont mis eux-mêmes à l’écart en
tentant d’imposer des objectifs supplémentaires à notre association,
des objectifs basés sur le tourisme, non prévus par l’œuvre
initiale de l’association (nous y revenons ci-dessous). Ils se sont également mis à l’écart en tenant des propos
dissidents et définitifs : « Je ne serai jamais le vecteur de tels désaccords »
ou encore « Pour 2009, nous ne pouvions continuer ... » (la
lettre du président, 23 février 2009). Toujours désireux de retrouver la sérénité de l’association,
non seulement nous souhaitons leur offrir une sortie qui aille dans le sens
de ces propos, mais nous espérons même vivre en intelligence avec leur autre
association. Nous sommes prêts à en discuter ... Nos propositions pour
l’immédiat N’épiloguons plus sur ce vote. Disons simplement que les
dirigeants l’ont rendu pour le moins ... chaotique. De toute façon, que
ce soit par leur décompte ou le notre, ils n’ont pas eu la majorité
requise. L’association n’est donc pas dissoute et cette
tentative de prise de pouvoir tombe à l’eau. Après tous ces propos et toutes ces actions, il est clair que
les dirigeants n’ont plus de légitimité, aussi nous souhaitons
qu’ils aient le fair-play (ainsi que les administrateurs affiliés)
d’abandonner leur place au sein du conseil d’administration. C’est ce que nous proposons dans l’immédiat,
c’est ce que nous demanderons en
conseil d’administration, et que nous demanderons en conciliation,
s’il le faut. Personne ne comprendrait qu’ils se maintiennent coûte
que coûte. Ce ne pourrait être que pour des raisons qui n’ont rien à
voir avec la Mémoire. C’est ce que nous expliquerons en justice, si
nous devons malheureusement y arriver. Nous ne développons pas plus ici, la porte est ouverte, nous
sommes prêts à en discuter. Nos propositions pour
l’avenir Les dirigeants n’ont plus les mêmes objectifs, ils
l’affirment eux-mêmes. Mais ce n’est pas un problème pour
l’avenir. Nous, nous ne savons faire que le « travail de
Mémoire », mais nous pensons que nous le faisons bien. Eux pensent que le « tourisme de Mémoire » prévaut.
C’est leur vision, soit ! Qu’ils oeuvrent dans ce sens au
sein de leur toute nouvelle association créée à cet effet. Peut-être le
feront-ils bien également, nous le souhaitons. Mais qu’ils laissent vivre l’association
historique du Mémorial ! À nouveau en bonne intelligence, il n’y a qu’à se
mettre autour d’une table et parler de cette répartition des rôles.
Nous avons des idées constructives pour cela. Une fois de plus, la porte est ouverte, nous sommes prêts à en
discuter. La mémoire, dans tout
ça Elle vient d’y perdre, pendant quelques semaines. Elle y a perdu moralement car les combattants du siècle
dernier se sont battus pour des causes
bien plus nobles, rendons-leur hommage ici. Elle y a perdu concrètement car nous n’avons pas trouvé
le temps de répondre aux courriers de nos lecteurs, de nos amis. Nous allons
renouer avec cela très vite, si nos propositions trouvent écho. Nous remercions à nouveau tous ceux qui nous ont soutenus et
informés, bien plus nombreux que nous l’espérions. Cela fait chaud au
cœur et nous conforte pour l’avenir. |
L’association
du Mémorial n’est pas dissoute ! Compte-rendu de
l’assemblée générale du 13 mars 2009 (1) (1) : Les dirigeants
n’ayant pas établi de compte-rendu comme le stipulent les statuts, ce
document fera foi. L’association du
Mémorial des batailles de la Marne n’est pas dissoute .... Fidèles à notre volonté d’informer, voici ce qu’il
faut savoir de l’assemblé générale du 13 mars. Dans un premier temps, pourquoi l’association ne peut
pas être déclarée dissoute. Puis, comment s’est déroulé le vote. Enfin, la mémoire, l’avenir. Rien n’est assuré, face à ceux qui n’acceptent que
leur propre autorité, leurs propres règles. Jugez par vous-même ! Pourquoi
l’association n’est pas dissoute Les résultats Conformément aux statuts, les
promoteurs de la dissolution devaient obtenir la majorité des deux-tiers. L’article 19 des statuts est on ne
peut plus explicite : l’assemblée générale extraordinaire peut
décider la dissolution de l’association dès lors qu’elle
obtient la majorité des deux tiers des voix exprimées. Cette règle, très
fréquente dans les associations, permet d’atténuer les velléités de
pouvoir de quelques-uns et d’assurer la pérennité des actions. Malgré les multiples astuces de
vote déployés au cours de l'assemblée, il leur a manqué 53 voix : Avec
96 voix contre la dissolution, le projet de dissolution aurait du recueillir
(2 x 96) + 1, soit 193 voix. Il n’y en eu que 140. La cause était entendue,
l’association n’était pas dissoute et le président allait sans
doute l’annoncer, la réunion touchant à sa fin, près de 4 heures après
notre arrivée. L’annonce Contre toute attente, le
secrétaire, se prévalant sans doute du rôle de président, clôturait la
séance, par un remerciement et un bonsoir aux participants sans aborder la
question cruciale. Ce n’est que sur une question
formelle que le secrétaire ... déclarait la dissolution, tentant de leur
substituer à la règle écrite, en dernière minute et avec un aplomb
phénoménal, la règle de la majorité absolue. Ce que ne démentait pas le
président, on s’en doute. Ubu voulant être roi ne
s’y serait pas pris autrement ! On hésite entre fou rire et consternation ! Car les règles sont claires, pour
qui veut les respecter : La décision de dissolution
est prise « selon
une procédure fixée librement par les statuts » (source : le site
officiel du gouvernement : http://vosdroits.service-public.fr).
Et les statuts de notre association
ne dérogent pas à cet usage. Que ce soit les derniers (de 2008) ou les
premiers (1997), ils confirment cette règle des deux tiers. S’il s’avérait
qu’aucun de ces statuts ne peut être la référence pour
l’association depuis 1997, on pourrait se demander à quoi ils servaient
... et pourquoi certaines décisions ont été prises sous leur application. Conclusion Les tenants de la dissolution
n’ont pas réussi leur entreprise de destruction. Nous adressons tout
d’abord un très grand merci à tous les adhérents et sympathisants qui
nous ont soutenu par leurs votes et leurs messages d’encouragement. Malgré tout, les partisans de ce
désastre pourraient ne pas désarmer. Car voyez ci-après la somme de
moyens illégaux ou outrageants mis en oeuvre : Comment s’est
passé le vote Avant cet épisode des règles bafouées, l’assemblée
générale a été une succession d’autres irrégularités, tout à fait dans
l’état d’esprit que nous avions déjà évoqué (ici). Voici un aperçu du déroulement de cette soirée. La tromperie sur le
nombre de mandats Selon l’article 17 des statuts de 2008, chaque adhérent
avait une voix et trois mandats
supplémentaires possibles. Prétextant que ces statuts n’avaient pas été signés par le
président, le bureau a décidé de se référer aux statuts de 1997, où il
n’était prévu que deux mandats. ·
Tout
d’abord, nous demandons pourquoi ces statuts de 2008 n’avaient
été signés que par le secrétaire et non transmis à la sous-préfecture dans
les trois mois comme cela doit être ? ·
Ensuite,
s’ils ne sont pas applicables, nous demandons pourquoi ils ont été
appliqués pour le passage de 21 à 27 administrateurs ? Au vu du résultat final et du nombre de présents, on comprend
facilement pourquoi cette partie des statuts concernant les mandats fut
refusée : de notre côté, nous présentions sans difficultés trois mandats par
adhérent présent, tandis que les tenants de la dissolution en avaient en
moyenne moins de 2 ! Ne serait-ce pas un manque de
confiance des adhérents envers cette équipe ? À noter qu’un e-mail adressé au président de
l'association demandant les modalités du déroulement du scrutin n'avait
pas reçu de réponse (ce manque de d’information, de transparence, finit
par devenir une signature !) Pour nous, par cette procédure inique, ce fut 32 votes refusés. 32 adhérents, qui avaient compris l’enjeu, mais dont on
a fait fi ! Ajout : Nous l’avons vu, les statuts sont la référence et
les dirigeants de l’association ne pouvaient pas l’ignorer, des
documents le prouvent. Toute déclaration de dissolution en sous-préfecture
relèverait donc de la loi. Avant de dire officiellement « il y a eu fraude », nous
espérons que les dirigeants prennent conscience des risques. Pas de contrôle possible
à l’émargement Alors que deux partisans de la dissolution tenaient le cahier,
nous n’avons pas été autorisés à contrôler l’émargement des
entrants. Et même, tandis qu’un d’entre nous essayait de
s’assurer de la réelle qualité d’adhérents de certains (voir ci-dessous),
le président, égal à lui-même, ironisait : « Ce n’est pas
étonnant, c’est un ancien gendarme, il ne sait faire que
ça ! » Sans commentaire. Nous avons, après que chaque adhérent ait signé, demandé à
avoir copie du cahier d’émargement. Le secrétaire nous a répondu que
nous l’aurions. Nous attendons
donc ce document. Des
pouvoirs refusés Dès le début de l’émargement,
il est apparu que les partisans de la dissolution allaient multiplier les
tentatives de rejets de certains pouvoirs. On a vu un ancien adhérent se voir
demander sa carte d’identité (identité que nous aurions pu confirmer si
nous avions pu participer à l’émargement, évitant ainsi cette
suspicion). On a vu des pouvoirs refusés, comme
celui signé par Madame L. alors que c’est Monsieur L. qui était
adhérent. Ces refus sont déjà peu
justifiables (de nombreuses veuves, par exemple, continuent
l’œuvre de mémoire de leur défunt mari, c’est dans les
‘us et coutumes’ de l’association depuis tant
d’années !). Mais ces refus deviennent inqualifiables quand le pouvoir de M.
RIES était refusé parce que signé par sa femme. M. RIES, un des piliers de la
mémoire à Dormans, un des fondateurs de l’association, organisateur de
la sauvegarde du monument, décédé 2 mois plus tôt ! Il a fallu la colère
et l’émotion bien compréhensibles de son mandataire pour que ce pouvoir
soit enfin accordé à Mme RIES. Après l’affront qui fut déjà
fait à cet homme le 21 janvier (refus par le président d’un éloge lors
du précédent CA), le degré extrême d’incivilité était atteint, honte à
vous, M. le secrétaire ! Des adhérents non
validés ? Pour être membre de l’association, il faut être agréé
par le conseil d’administration. C’est dans les statuts (article
6), et c’était la règle jusqu’en 2008, l’inscription des nouveaux
n’était validée qu’après un conseil d’administration. Là encore, cette règle ne semble plus intéresser les nouveaux
dirigeants et ainsi, 22 nouveaux adhérents ont voté en violation des statuts. Vous imaginez sans difficulté quel a été leur vote ! Ce qui nous fait sourire, c’est qu’en huit mois,
la nouvelle équipe aurait intéressé 22 personnes alors que dans les deux années précédentes,
elle n’en avait attiré aucune (confirmé par elle-même lors du dernier
CA). De là à penser que ce sont des adhésions de complaisance ... Confirmation post-réunion : deux « nouveaux
adhérents » ont ‘avoué’ à une tierce personne qu’ils
avaient été invités à voter alors qu’ils ne sont pas adhérents chez
nous ! Des adhérents à titre
gratuit ? Au moins, on pourrait se consoler en se disant que ce sont 330
euros de cotisations au minimum qui sont rentrées, voire 400 ou plus, selon
l’intérêt manifeste et soudain. Sauf que la différence de cotisations entre mai 2008 et mars
2009 est de 68 Euros. Si nous pouvons envisager que ces 68 euros
correspondent effectivement à l’arrivée de quatre nouveaux adhérents,
nous pouvons en déduire que 18 des 22 adhérents n’ont pas payé leur
cotisation. De là à penser que ce sont des adhésions de complaisance ... Des statuts non
consultables Devant tant d’incidents, dès le début de
l’assemblée, nous avons demandé à voir les statuts, afin de contester
la validité du vote. Cela nous a été refusé, car, nous fut-il répondu, le
bureau ne les avait pas sur place. Nous avons demandé que ce refus et cette carence soient indiqués
sur le procès-verbal de réunion. Nous y veillerons et agirons s’ils ne l’étaient
pas. Conclusion du vote Ce climat mesquin, ergoteur, cet ‘art’ de faire
durer la réunion, cette tension entretenue (avec notamment la présence
choquante d’un professionnel de la sécurité) étaient destinés à déstabiliser des adhérents attachés à
l’association. Trois de nos adhérents préféraient quitter ces batailles
indignes, l’un d’entre eux exprimant clairement sa tristesse
devant si peu de respect de la Mémoire. Nous perdions ainsi 7 voix
supplémentaires. Les amateurs de calcul remarqueront que, sans tous ces
‘désagréments’, nous avions la majorité absolue ! 96 + 32 +
7 = 135 adhérents contre la
dissolution, 140 - 18 = 122 contre. Tout un état d’esprit qui ne change rien au résultat.
Pour le vote, seul compte la règle des deux-tiers, et nous la ferons respecter. Rappelons que les statuts sont
« un contrat qui lie les membres de l'association. Ils ont donc la même
force que les autres contrats vis-à-vis du Code civil » (source
Wikipédia). Faire respecter la loi,
l’honneur Signe de notre détermination,
l’animateur de ce site Internet a mené au cours de la réunion une joute
verbale sans concession afin de rétablir
la vérité et faire reconnaître son total désintéressement. Rappelez-vous : le 21 janvier,
deux membres du bureau
ont déclaré en séance :
N’obtenant pas le retrait
immédiat de ces propos mensongers, l’animateur avait réitéré sa demande
dès le lendemain par écrit ... Sans réponse en ce 13 mars,
l’animateur accrochait le président et le secrétaire, ne lâchant pas
tant que ce dernier ne concède avoir
fait une erreur et formule des excuses. Ce rare moment de discernement est
à mettre à l’actif du secrétaire, attitude dont ne semble
malheureusement plus capable le président qui continuera à ergoter. L’animateur du site acceptait
néanmoins ces excuses partielles et considère l’incident clos. L’avenir, la mémoire Le travail de mémoire passe parfois par ces combats loin du
terrain, loin du souvenir des hommes dont nous parlons au quotidien sur ce
site et à Dormans. Empêcher la dissolution de l'association du Mémorial de
Dormans est notre combat actuel, difficile, face aux velléités de pouvoir et
aux considérations d'argent Nous aborderons peut-être un jour prochain la présentation du
budget, elle-même source de commentaires éloquents. Toute cette agitation est bien triste et malheureusement, rien
n'est fini. Quoiqu'il en soit, nous restons attentifs car nous craignons
que les dirigeants tentent un passage en force, en se disant que l'on n'ira
pas jusqu'à une procédure. ·
Nous
avons d'ores et déjà envoyé un courrier à la sous-préfecture chargée de
l'enregistrement des associations et nous constituons le dossier à présenter
au tribunal au cas où cette équipe tenterait d’imposer une dissolution
qui serait alors illégale avec détournement de fonds. ·
Nous
attendons les documents demandés au bureau de façon formelle : copie des
statuts, de la liste d’émargement, PV d’assemblée avec constat de
carence des statuts. ·
Nous
attendons, en toute logique, la
démission des principaux promoteurs du désastreux projet de
dissolution qui a porté gravement atteinte au
développement de l'activité de l'association du Mémorial des Batailles
de la Marne et au respect des hommes à qui nous rendons hommage au quotidien. C'est vrai que nous continuerons à faire vivre la mémoire de
toute façon, mais nous nous battrons pour ne pas laisser l'association être
dissoute, car ce serait un réel rempart
contre l'oubli qui disparaîtrait. Les soutiens sont venus nombreux, de loin (19 départements différents,
et même deux de l’étranger), alors, comme nous le disions sur un forum
ami, si nous oubliions de remercier certains d’entre-vous, nous
espérons que vous le comprendrez. De toute façon, en parallèle de notre travail de Mémoire,
soyez assurés que nous continuerons ici ce lien d’information. |
Peut-on dissoudre
l’association dans la désinformation ? Cette semaine, les adhérents de l’association historique du Mémorial des batailles de la Marne
ont reçu le courrier les informant que le conseil d’administration
demande la dissolution de celle-ci. Le président conforte cette décision en parlant de
« conflit coordonné, d’attaques injustifiées » ; Il
indique comme seul motif de dissolution cette discorde ; Et il passe
bien sûr sous silence les sujets qui pourraient permettre de comprendre ce
sabordage organisé : l’argent, notre proposition, le tourisme de
mémoire. Pour nous, cette demande est profondément déplorable et
injustifiée. Comme à notre habitude, nous souhaitons que sympathisants et
adhérents soient informés correctement. Nous répondons donc à cette série de
désinformations, y ajoutant nos
propres propositions et faisons suivre quelques détails pratiques pour le
scrutin. Des attaques
injustifiées ? Ce que le président appelle « des attaques injustifiées »
ou « un conflit coordonné et dangereusement attisé par quelques
administrateurs » est tout simplement l’expression d’avis
différents. Mais voilà, la nouvelle direction de l’association ne
supporte pas la contradiction, ni même le débat. Nous avons soulevé plusieurs différends, il est vrai, mais ils
sont tous justifiés, tous étayés par des faits, voire des documents.
Rappelons-en certains brièvement, sans entrer à nouveau en polémiques : -
mouvements
d’argent suspects (seule la modération nous empêche d’utiliser le
mot ‘illégaux’) et importants (4700 euros) que nous avons réussi
à empêcher, lire
ici, -
recel
d’informations nécessaires au conseil d’administration
(concernant le projet touristique d’envergure), -
des
travaux non faits (voir ci-dessous), -
le
vol d’informations (ordinateur escamoté avec les données de ce site et
d’autres), -
obstruction
d’accès (par changement des serrures en catimini), -
le
désintérêt manifeste pour certaines cérémonies ou manifestations. Ce ne sont que quelques exemples, il y en a eu d’autres.
Nous pouvons fournir des précisions à quiconque, voilà la vérité ! Et comme nous n’affirmons pas sans preuve, voir par
exemple notre précédent
article du blog. Amis adhérents, demandez-vous qui contribue, selon
l’expression du président, à « une association sereine et exempte
de préjugés ». Selon le vieil adage : « quand on veut se
débarrasser de son chien, on dit qu’il a la rage ». Le lecteur jugera de lui-même qui est réellement auteur
d’attaques injustifiées. Le motif de dissolution
annoncé Le motif annoncé sur le courrier serait que
l’association « ne peut continuer sur des bases de
discorde ». Voilà un motif insolite, pour le moins ! Une entreprise
se saborde-t-elle si une partie du personnel émet des avis différents ? Allons, soyons sérieux ! Retenons plutôt les raisons
invoquées lors du conseil d’administration. Raisons qui semblent avoir
disparues, raisons que nous dénoncions comme non valables, à
savoir : ·
Le
bureau affirmait qu’il y aurait « une grande difficulté pour
l’association à assumer l’objet pour laquelle elle a été
créée » : Non, nous sommes plusieurs, prêts à
reprendre les rênes et à défendre les valeurs fondatrices de cette
association. ·
Le
projet de la nouvelle association serait « suffisamment abouti pour
garantir une action aussi efficace » : Non, car aucun document n’a été
fourni aux administrateurs pour juger de cet ‘aboutissement’ ! En conclusion, ancien ou nouveau motif annoncé, aucun ne
tient. Les adhérents attentifs vont-ils voter cela ? L’argent -
Le
but est de récupérer les 85.000 euros d’actifs (minimisés à 45.000 par le
secrétaire). Pas la peine d’épiloguer sur ce vil objectif, le bureau le
confirmait lui-même avec aplomb en séance du 8 janvier. -
Le
président parle dans son courrier de « coûts d’entretien
énormes » et de « partenariat coûteux pour la sauvegarde des lieux »
... assumés totalement par la mairie. Pourtant, il semble nécessaire de rappeler que l’on
attend toujours l’entretien des cercueils de l’ossuaire (qui
baignent dans une mare d’eau stagnante), le colmatage de
l’édifice (où des fissures font craindre pour la sécurité). A
l’inverse, nous voyons effectivement des dépenses coûteuses (plus de
5000 euros) et discutables pour
l’achat d’uniformes et de sabres destinés à l’exposition. Désolé, monsieur le Président, ce ne sont pas des attaques
injustifiées, mais de l’information nécessaire. Chaque adhérent a le droit de savoir ce qu’il advient de
son argent. Le voilà un peu mieux informé pour prendre une décision. Notre proposition Nous le disions plus haut, nous sommes plusieurs à proposer de
reprendre la barre du navire. Lors du conseil d’administration, nous avons été
clair : ·
Nous
laissons toute latitude à la mairie et à la nouvelle association pour
travailler ensemble sur le tourisme de mémoire, puisque c’est
leur objectif annoncé (lire ici le journal
régional L’UNION qui a donné intelligemment la parole aux deux points
de vue). Une association supplémentaire, un autre mode de travail, ça ne nous
gène pas, au contraire, la mémoire qui se partage, qui se multiplie,
c’est notre leitmotiv (largement illustré au travers de ce site
internet, d’ailleurs). ·
Mais
laissez-nous continuer au sein de cette association historique
l’œuvre dans le sens où elle a été définie par les fondateurs, à
savoir le devoir de mémoire, axé non pas sur les investissements et le
nombre de visiteurs mais sur les hommes qui ont écrit des pages de gloire et
de souffrance. Si la mairie avait l’intelligence de nous laisser vivre
en harmonie, elle n’aurait qu’à y gagner sur son objectif de
tourisme, c’est pourtant le bon sens. Répondez à cette simple
question : Si l’association perdure, en quoi cela vous
gêne-t-il ? Cette proposition aurait du apparaître dans le compte-rendu du
dernier conseil d’administration. Vous n’en avez vu trace nulle
part, le président a préféré passer cela sous silence. C’est pourtant un élément qui pourrait orienter votre
choix, non ? En votant contre la
dissolution, vous appuierez l’idée que cette répartition des tâches
est non seulement viable, mais qu’elle est un plus. Le tourisme de mémoire C’est le vrai point important de notre différence de
vue. Soyons clair : nous ne sommes pas opposés au tourisme de
mémoire. Nous souhaitons juste que primo, le tourisme n’occulte pas la
mémoire et secundo, qu’il serve la mémoire. Or, cela n’en prend pas le chemin. Des milliers d’euros sont dépensés en militaria, il est
question de muséographie, d’investissements progressifs,
d’augmenter le nombre de visiteurs, bref, il ne manque que les mots
‘plan marketing’ et ‘retour sur investissement’ ... Ce n’est pas notre vision, mais bon, on se dit que les
visiteurs vont venir ... Peut-être. Peut-être, car quand ils seront passés à Verdun (en pleine
mutation -touristique- également, lire ici), Suippes
(récent), Sedan (refonte en cours), Meaux (prochaine ouverture), la Pompelle,
le chemin des Dames, tous ces sites qui comme Dormans voient la concurrence
(!) s’étoffer et font de la surenchère, ces visiteurs viendront-ils
dépenser quelques dizaines d’euros supplémentaires à Dormans ? Ils viendront peut-être. En touristes. Mais dans les projets
de Dormans, où est-il question des 1360 hommes qui reposent dans
l’ossuaire, des 3860 autres qui sont à la nécropole, de comment ils
sont tombés, où, quelles étaient leurs conditions de vie ? Les touristes vont peut-être venir mais ils ne connaîtront pas
ce qui s’est passé car ce n’est pas dans les objectifs annoncés. Nous si ! Nous faisons un travail
de mémoire en profondeur. Nous fouillons les archives, nous allons sur les lieux de
combats, nous rencontrons des passionnés, nous échangeons nos connaissances,
nous diffusons, ... Certes, nous ne saurions faire du tourisme de mémoire, mais
nous avons l’immodestie de croire que nous pouvons développer
l’association historique sur le devoir de Mémoire. Alors, à chacun ses compétences. Que deux associations
s’attachent à développer des domaines complémentaires ne peut être
qu’un avantage. Et chacun y gagnera, à commencer par la mémoire. Points pratiques pour
l’assemblée et le vote : Certains se sont retrouvés adhérents de la nouvelle
association un peu contre leur gré (le secrétaire a reconnu en séance que la
formulation était un peu floue), mais vous êtes toujours adhérents à
l’association historique. Signalez-nous si vous n’avez pas reçu
le courrier de cette semaine. Si vous pouvez être présent à cette assemblée, faites-le, nous
en serons ravis. Ne serait-ce parce que les présents auront trois (*) pouvoirs
supplémentaires à mettre ‘pour’ ou ‘contre’ cette
dissolution. Nous préférons bien sûr le vote ‘contre’, mais tout
d’abord, être présent sera montrer que nous nous soucions réellement du
devenir de la mémoire à Dormans. (*) : erreur dorénavant corrigée, il s’agit bien de
trois, et non deux pouvoirs, en plus de votre vote. En tant
qu’animateur de ce site et administrateur récent d’association,
je vous prie d’excuser cette imprécision. Cliquez ici pour visualiser où
se déroulera l’assemblée du 13 mars. Si vous ne pouvez venir, envoyez votre pouvoir. Si vous ne savez à qui donner pouvoir, envoyez-le sans nom
d’un représentant, avec un mot expliquant si vous êtes pour ou contre
la dissolution. Rappel, votre pouvoir en blanc permettra de répartir votre
choix sur les présents et donc qu’il soit réellement pris en compte. Vous imaginez bien que si vous l’envoyez à
l’adresse de l’association, il deviendra un vote
‘pour’ la dissolution. À nouveau, contactez-nous si vous voulez des
précisions. - o 0 o - Une dernière observation : Sur son site Internet, la ville de Dormans a déjà fait
disparaître l’association historique de ses adresses. Si vous ne voulez pas que l’on prenne des décisions à
votre place, faites-le savoir. |
Menace de
dissolution ... et un état
d’esprit se révèle Afin de laisser le lecteur se faire son propre jugement, cet article
relate sans commentaires quelques-uns des propos tenus lors du dernier
conseil d’administration de l’association. Le contexte Jeudi 8 janvier, le conseil
d’administration de l’association du Mémorial des batailles de la
Marne était convié à voter pour ou contre la dissolution de celle-ci,
proposée par les membres du bureau. Après un vote de 13 voix pour et 6 contre,
le bureau annonce qu’il demandera la dissolution au 31 mars, au cours
d’une future assemblée générale des adhérents. C’est pour nous une très triste
décision. Mais au travers de cette tentative de destruction, les membres du
bureau ont laissé paraître ce soir-là, un visage qui n’est pas celui qu’on attend d’une
association de mémoire. Jugez-en au travers de ces propos, parfois
puérils, parfois, malheureusement, très choquants. À propos de nécropole et de respect Un des administrateurs s’étonnait
qu’un supermarché ait été récemment érigé tout contre la nécropole. Il
regrettait notamment que l’association n’ait été ni informée ni
consultée. Voici ce qu’a répondu le bureau :
Oui, vous avez bien lu : les occupants de la nécropole ne se sont
pas plaints ! Il est vrai qu’il y a 90 ans et plus,
à vouloir défendre une notion étrange, la démocratie ( !), ces occupants
avaient perdu définitivement la possibilité de se plaindre. Les amis de la mémoire sont scandalisés d’un
tel cynisme ! Et les anciens combattants apprécieront ! On pourrait se dire que cette phrase
n’était qu’un moment d’égarement ... mais cet état
d’esprit est malheureusement conforté lors de cette même réunion, au
gré de nos questions, sur des dégradations qui perdurent depuis des
mois : Mettre à l’abri les cercueils de l’ossuaire, qui baignent dans l’eau
depuis des mois n’est pas à l’ordre du jour. Réparer les infiltrations du Mémorial fait
l’objet d’une étude. Faudra-il attendre un jour un accident de
personne pour agir ? On constate au passage que l’étude pour
faire construire un supermarché a été moins compliquée. À propos d’hommage et de respect On atteint là le consternant. Alors que le président annonçait la fin de
la séance, le doyen de l’assemblée demandait la parole afin de faire ce
qui était du devoir du bureau : rendre hommage à deux administrateurs de très
longue date, décédés le mois précédent (lire ici
et ici). Sans doute piqué de ne pas en voir eu
l’initiative, peut-être craignant d’être visé par une quelconque
critique, le président du bureau a refusé cet hommage d’un ton
cinglant. Ce qui ne pouvait se concevoir, vu le passé de
ces deux disparus.
Sans commentaire ! À propos de capacités auditives et de respect Le doyen de l’assemblée, qui avait
malheureusement mal entendu une réponse, a reposé une question déjà posée. Il se trouve qu’il est l’un des
principaux opposants à la dissolution. Était-il nécessaire, pour autant,
qu’un membre du bureau, mette ses mains en porte-voix et s’écrie
à la cantonade, avec un sourire insolent :
Certes être l’ancien de
l’assemblée s’accompagne de quelques désagréments auditifs, mais
on s’attendrait que cette qualité d’ "ancien"
apporte aussi le respect de la part de tout interlocuteur, fut-il en
désaccord. Et que si cet homme impoli, non des moindres dans la cité,
n’ait pas l’intelligence, qu’il ait au moins la décence et
la retenue qu’imposent son rang ! À propos
d’honnêteté Concernant ce site Internet que vous
parcourez, propriété intégrale de son auteur, deux membres du bureau ont
déclaré en séance :
cherchant ainsi à mettre en doute auprès des
administrateurs mon désintéressement. Il n’est pas dans mon habitude de
mettre en avant les questions personnelles, mais j’ai alors réagi avec
vigueur à cette accusation. Ce site est le résultat d’un
travail totalement bénévole. Aucun
centime de l’association n’a financé ni le développement, ni
les recherches, ni les frais occasionnés. Ce site est un site perso, passant
par un autre fournisseur que celui choisi par l’association. Ainsi, aucun frais de fonctionnement n’a
jamais été imputé et a fortiori ne peut continuer à coûter à
l’association. S’il y a des coûts
aujourd’hui, ils ne peuvent être dus qu’à des choix inappropriés
de la nouvelle direction. Quant aux coûts censés être liés à la
création ou la maintenance de ce site de Mémoire, piqué au vif dans mon
intégrité, j’ai demandé à MM BRUYEN et ROBERT, respectivement
secrétaire et président de l’association, d’apporter la moindre
preuve de ce qu’ils avançaient ou de retirer ces propos mensongers. Ils ne l’ont pas fait en séance, et je
réitère, aujourd’hui même et par courrier, cette demande et en attend
des excuses. Voilà les propos de ces personnes qui
prétendent servir la Mémoire. Le comble, une de ces personnes affirme,
toujours en séance, assumer cet irrespect en prétextant le notre. Il ne faut pas confondre l’irrespect,
qui n’est pas chez nous, et la franchise, qui est la nôtre. Car nous
persistons : Nous sommes inquiets de savoir si nos interlocuteurs ont le
souci premier des lieux de mémoire et des hommes. Et nous le faisons savoir.
Par franchise envers nos lecteurs, sans irrespect aucun, dans le respect de
la devise des anciens combattants, citée en haut de cette page : « Servir, sans
se servir, ni s’asservir » - o O o - Faut-il que l’association soit dissoute ? Il restera à voter ou non cette dissolution. Ce sera l’affaire des
adhérents. Nous affirmons, pour notre part, que les
deux raisons invoquées pour cette dissolution ne sont pas avérées. À
savoir : - Le bureau affirme
qu’il y aurait une grande difficulté pour l’association à
assumer l’objet pour laquelle elle a été créée : non, nous
sommes prêts à reprendre les rênes et à défendre les valeurs de cette
association. - le projet de la
nouvelle association serait suffisamment abouti pour garantir une action
aussi efficace : Non, car aucun document n’a été fourni aux
administrateurs pour juger de cet ‘aboutissement’ ! Nous ajoutons que la convention qui liait
l’association et la mairie a été dénoncée de façon unilatérale par
celle-ci, ce qui va à l’encontre des principes écrits de cette
convention (1). Concluons que la nouvelle association (créée
par ces dissidents) annonce haut et clair avoir besoin, pour démarrer ses
premières activités, de récupérer les actifs de notre association historique,
soit 45000 € selon le secrétaire (2). Ce besoin, le bureau l’a affirmé en
séance, voilà qui a le mérite d’être clair sur les intentions ! Par ailleurs, nous relayons
l’étonnement d’un administrateur et attirons
l’attention de nos adhérents sur le
bulletin d’adhésion reçu dans la lettre de la nouvelle association.
Il est suffisamment flou pour vous
retrouver, sans le savoir, adhérent de cette nouvelle association. Une erreur
involontaire, a admis le secrétaire. Pour le moins ! Oui, pour le moins, car un de nos lecteurs
nous informe ce jour (27 janvier) qu’il a été "relancé" pour
payer sa cotisation. Le mot ‘relancé’ est entre guillemets, car,
il s’agissait de cotiser ... à la nouvelle association ! Étouffer l’opposition,
l’écarter, voire la dénigrer, et au passage récupérer le fruit de
celle-ci. Voici des méthodes qui sont à nos antipodes. En conséquence, nous
appelons les adhérents à voter contre cette dissolution qui, nous vous en
laissons juges, semble loin d’être guidée par le seul souci de la
mémoire. N’oubliez pas, amis lecteurs, que le
Mémorial des batailles de la Marne a surtout
valeur par les hommes qui l’ont engendré. Nous tous, aujourd’hui, nous nous
devons de rester d’humbles transmetteurs de Mémoire, et rien
d’autre. - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
- - - - - - - - - - - (1) : Le représentant de la municipalité
l’a d’ailleurs confirmé avec aplomb : « cet arrêt
n’a pas fait l’objet d’une discussion en conseil municipal,
il a été décidé ! » Il est pourtant stipulé que la mairie ne
peut dénoncer cette convention qu’en cas de manquement grave de
l’association (ce qu’il n’y a jamais eu, bien sûr) et
qu’elle doit le faire par courrier recommandé expliquant le manquement
et laissant un délai pour y remédier (ce qu’il n’y a pas eu non
plus). (2) : 70.000 euros selon nous : 55281 au
dernier arrêté auxquels s’ajoute un stock de l’ordre de 15.000
euros. |
Quel Gâchis ! Un
supermarché qui vient cacher la Nécropole. Une
association qui vient en catimini supplanter celle qui existait. Un
projet qui menace l’intégrité du Mémorial. Jusqu’où
iront-ils ? « Quel
Gâchis ! » Ce sont les mots d’un de nos
interlocuteurs aujourd’hui, qui apprenait ce qui se passe autour du
Mémorial. Un interlocuteur dont le niveau de responsabilités et le passé
permettent de se dire qu’il a un regard lucide, pour le moins. Il est consterné. Ainsi donc, l’association nouvellement
créée « Mémorial Dormans 1914-1918 » remplacerait « l’association du Mémorial des batailles
de la Marne » ? Ainsi donc, l’association du Mémorial
des batailles de la Marne serait annihilée, voire dissoute ? C’est en tout cas ce que nous rapporte
cet interlocuteur. C’est tout de même assez surprenant
puisque le conseil
d’administration n’a pas été averti ! Quel gâchis, vous avez raison !! Un agglomérat de quelques individus est en
train de s’approprier la Mémoire sur Dormans. Celle de
l’association aînée, celle de la nouvelle, celle de la ville. Ils virent les anciens, dénigrent
publiquement ceux qui dénoncent leurs pratiques, posent leurs pions, imposent
leurs projets, leurs directives.... Nous pourrions allonger la liste des
griefs. Que l’on ne nous dise pas qu’ils
prennent soin de la mémoire. Alors qu’ils ont oublié la
commémoration de la libération de Dormans il y a deux mois (l’édito) Alors que depuis 1 mois, un supermarché se
construit, masquant la nécropole nationale (voir...), D’autres exemples ?.... Allez, ils ne valent pas le temps que nous y
consacrons en écrivant ces lignes. Sachez que pendant ces tristes grandes manœuvres, la Mémoire continue. La vraie, celle qui consiste en un travail
durable, loin de ces pratiques. Amis lecteurs, pensez que la Mémoire
existera encore longtemps, bien après eux ! |
Le ciel
s’obscurcit au-dessus du Mémorial Nous nous y attendions, le maire de la
commune vient de décider la création d’une deuxième association,
une association qui va s’appuyer sur le Mémorial de Dormans. Une nouvelle fois, cela est inquiétant pour
la Mémoire, et inquiétant pour l’association actuelle. Voici quelques raisons de nos inquiétudes. Y
avait-il un besoin de créer une nouvelle association ? Absolument pas. L’association actuelle est sur une
pente très ascendante à tous les niveaux : ·
Avec 306 adhérents, c’est une progression que l’association
n’avait jamais connue en 10 ans. ·
De belles actions de mémoire : Lemke, Boullet, le
livre ‘Dans la fournaise’, le site internet, ... ·
Les disponibilités cumulées, de 56000 euros, allaient
permettre de mettre en place les projets envisagés (un journal plus fréquent,
encore plus riche, d’autres publications, d’autres actions de
mémoire ...) ·
etc. Quelle
considération pour les adhérents de l’actuelle association ? Très peu. Même le conseil d’administration
n’a pas été informé de cette création. Vous les adhérents, et vous, amis de la
Mémoire, êtes, pour la grande majorité d’entre vous, dans
l’ignorance de cette création. Pourtant, celle-ci va avoir une grosse
influence sur la vie de l’association actuelle (voir plus bas). C’est vrai qu’informer,
c’était risquer d’entendre des avis différents. Amis adhérents, vous n’avez plus de
journal (L’écho), vous n’avez plus de compte-rendu du conseil
d’administration. D’’ailleurs, malgré nos efforts, la
rareté des C.A. était déjà un signe. Amis de la Mémoire, vous n’avez
qu’une information tronquée, voilà bien les signes d’un ciel qui
s’obscurcit. Que va
devenir l’association actuelle ? Malgré une santé florissante, un vrai
dynamisme, elle va probablement être mise sous l’éteignoir. Reste à
savoir si ce sera par petites touches, ou de manière radicale. Mais là, ce ne sont que des hypothèses,
alors n’affirmons rien, contentons-nous d’attirer votre
attention : une association de Mémoire risque de s’éteindre
pour les intérêts d’une ou de quelques personnes. Quel
avenir pour la Mémoire ? Rappelons-le, l’objet principal de
l’association actuelle est de faire vivre la mémoire. Pendant 10 ans, elle l’a très bien
fait et ces dernières années, elle l’a fait de façon de plus en plus
active. Si ce dynamisme est cassé, cela ne peut être que préjudiciable pour
la Mémoire. La nouvelle association va peut-être être
dynamique, c’est possible. Mais si ses projets avaient uniquement été
dans le sens de la Mémoire, l’association actuelle les aurait acceptés. De façon anonyme, nous serons quelques-uns à
continuer à réaliser de véritables actions de mémoire. Et ces pages
continueront de vous informer sur la couleur du ciel, au dessus du Mémorial. |
Jean-Marie Bockel, secrétaire d'État, à Dormans le 6
juillet
Que
retenir pour Dormans, pour la mémoire ? Tout d’abord, cette présence à Dormans
du secrétaire d’État aux anciens combattants. C’est
l’occasion de faire parler de la Mémoire et du Mémorial dans un
périmètre un peu plus large et ça, c’est le plus important, ne passons
pas à côté de cela. On apprend aussi que le programme des commémorations
peine encore un peu à se mettre en place. Allez, c’est vrai qu’on
aurait aimé que cette cérémonie à Dormans, comme les cérémonies de
l’armistice, soit un peu plus portée à la connaissance du public !
Mais que cela ne sous ralentisse pas. C’est aussi à nous, les anonymes
que nous sommes, de continuer à parler toujours plus de ces combats, de ces
hommes, et de ce qu’ils nous ont transmis comme valeurs, que ce soient
celles du sacrifice ou de la victoire. Hervé Chabaud conclut sur le travail des
élèves du collège de Dormans. Belle conclusion, il y a une certaine
satisfaction à voir des jeunes montrer leur curiosité sur ce sujet de la
mémoire. Utiliser Internet pour y puiser et restituer à leur manière ces
pages d’histoire, quel beau lien entre passé et avenir ! |
Conseil d’administration n°2 de
l’association Nous l’annoncions dans
l’éditorial, il y a eu du bon et du moins bon, lors de ce conseil. Voyons cela par thèmes. 1 - Le
grand projet : La mairie lève enfin - partiellement - le
voile sur ce projet, à l’étude depuis 18 mois, qui concerne le
Mémorial. Des informations plus précises arriveront après le 6 juillet. Les bons côtés : ·
Une première information, qui n’est pas des
moindres : le Mémorial, le parc et le château resteront lieux de
recueillement et de Mémoire, c’est inscrit dans le cahier des charges,
est-il dit. ·
En outre, le projet est modulable, ce qui permet une
mise en place progressive et raisonnée : un pôle Mémoire, un pôle Botanique,
un pôle ‘musée’, un pôle syndicat d’initiative/Tourisme, un
pôle ‘locaux historiques’ (en l’absence de compte-rendu,
ces informations restent provisoires) ·
Aucune rentabilité n’est recherchée sur ce projet,
l’objectif est ‘de faire vivre la mémoire’. ·
Une subvention du Conseil Général de 15.000 Euros est
d’ores et déjà annoncée. Les moins bons : ·
Aucun chiffrage des coûts des différents pôles
n’est actuellement envisagé. Est-ce possible ? ·
Si aucune rentabilité n’est attendue, comment vont
être financés les travaux importants à court et moyen terme ? ·
Une réflexion : la mémoire y aurait sans doute
gagné si les précédentes demandes de subventions avaient effectivement
été transmises et obtenues par le passé. ·
Une inquiétude : Des travaux
« d’agrandissement » sont envisagés sur le Mémorial. Même si
l’assurance est donnée de respecter l’aspect visuel, il semble
que le conseil d’administration doive obtenir des informations
précises. ·
L’accès aux documents, cahier des charges,
comptes-rendus d’avancement, n’est pas autorisé aux membres du
conseil d’administration. Cela semble inquiétant. 2 - Régularisation de sommes indûment
perçues : Le bon côté : Grâce à une
persévérance de deux ans de l’ancien secrétaire de l’association,
le président informe que la somme de 4680 euros est remboursée par
l’administrateur qui se l’était octroyée. Le moins bon : Puisque le
côté pour le moins indélicat est confirmé par le remboursement, pourquoi le
responsable est-il reconduit dans ses fonctions du bureau, et ceci avec
‘toute la confiance des membres du bureau’ ? 3 - La
célébration des 5 et 6 juillet (90e anniversaire) : Les bons côtés : ·
Le carnet d’adresse du nouveau vice-président
permet une ouverture importante du Mémorial vers les acteurs importants de la
mémoire. ·
Une manifestation d’envergure Les moins bons : ·
À deux semaines de l’évènement, aucune information
sur le déroulement. Des raisons logistique et politique expliquent ce choix
de la municipalité. Mais 90 ans ! C’était une superbe occasion de
faire connaître le travail de Mémoire sur Dormans, quel dommage ! 4 -
Les questions diverses : Le bureau prend acte du refus exprimé par M.
RIES, par courrier, de la fonction de président d’honneur. Le bureau repousse à une date indéterminée
la cooptation de M. LAFON comme 27e administrateur. Le règlement intérieur de
l’association sera revu d’ici septembre. Les moins bons : Beaucoup de
questions, transmises par écrit n’ont pas été traitées. Ces sujets sont
importants car porteurs de Mémoire : ·
Quel est, sur l’année 2008, le planning des
actions organisées par l’association ? (pour rappel, la précédente
équipe s’est investie dans 10 actions en sept mois : 2 cérémonies,
4 manifestations et 4 expositions. ·
L’écho du Mémorial sera-t-il maintenu, sous quelle
forme (périodicité, diffusion, nombre de pages, de rubriques). Pour rappel,
l’Écho, c’est 500 à 600 exemplaires deux fois par ans, 10 à 12
rubriques de 20 pages. ·
Quand les travaux urgents seront-ils réalisés :
Infiltrations, accès mobilité réduite, toilettes convenables ?
(certaines questions datent d’avant ce conseil, est-il normal de les
reporter encore, vu l’urgence ?) 5 - La
conduite de la réunion : Les moins bons : ·
Les sujets sont présentés comme des décisions prises par
le bureau. Ne serait-ce pas au conseil d’administration de confirmer ou
d’infirmer les choix ? ·
Il est dommage de perdre du temps sur des questions
anodines (un papier oublié dans le photocopieur, la décision de traiter des
courriers à 56 centimes et non 53, des sujets d’ordre personnel) et de
ne pas avoir le temps de traiter les questions importantes comme celles
ci-dessus. ·
L’annonce par le maire en toute fin de séance a
été très incompréhensible. A-t-il parlé du non-renouvellement de la
convention liant la mairie et l’association ? Il aurait été utile
d’obtenir des précisions. ·
Il est dommage que ce soit le secrétaire qui lève la
séance. Surtout pour le motif invoqué (un match de foot !) ·
La présence de la secrétaire de l’association, aux
frais de l’association, est-elle nécessaire, puisqu’elle remplit
alors le rôle dévolu au secrétaire du Bureau ? Mettons cela sur le compte de réglages qui
devront s’améliorer dès les prochaines séances. |
Conseil d’administration n°1 de
l’association Jean-Claude ROBERT est élu président, par 12
voix contre 10 à Auguste HERY. Christian BRUYEN, maire de la ville, est
nommé secrétaire, Henri Maurel, vice-président, Gérard NIGER reconduit comme
trésorier et Raymond RIES proposé comme Président d’honneur. La mise en place d’un projet, est
abordée au sein de questions diverses. Connu de tous dans le principe, mais de très
peu de monde dans les grandes lignes, encore moins dans les détails, il suscite
des inquiétudes. Notre interrogation est simple : Ce
projet conservera-t-il, comme ligne directrice, les principes
fondateurs : Mémoire et recueillement ? En fin de séance, l’éviction du
secrétaire est suivie de méthodes ... discutables. Question : Quand pourra-t-on récupérer
les données stockées sur l’ordinateur qui a été débranché et déplacé le
soir même ? |
Assemblée générale de l’association Les différentes présentations font état de
la belle santé de l’association :
§
306 adhérents dont de nombreuses nouvelles adhésions, §
des comptes positifs malgré le manque important de
subventions, §
de belles actions (Le livre ‘Dans la
fournaise’, Cérémonie LEMKE, les petits Chanteurs, réinhumation
BOULLET...), §
le site Internet en pleine progression. M. François Leguen, président sortant,
informe qu’il ne souhaite pas renouveler sa présidence. L’élection des membres du conseil
d’administration, longtemps controversée dans la forme et dans les
faits, est entérinée avec la désignation comme administrateurs ... de tous
les candidats (!) selon le résultat suivant :
Il est même décidé la future nomination
d’un 27e administrateur. |
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