LeRempartW

Mémorial Dormans

Le rempart contre l’oubli, sur Internet

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Au tableau d’honneur

 

 

 

Commandant Gustave de SURIAN

tombe 762 à la nécropole de Dormans

 

Nos sources :

- Les informations nous ont été pour partie gracieusement communiquées par son arrière petit-fils, Olivier d’ORMESSON de SURIAN : photos, lettres adressées à l’épouse du commandant, et d’autres provenant du beau-frère du commandant, le médecin général militaire Jean des Cilleuls. Ces documents constituent un ouvrage en cours d’édition qui sera prochainement disponible « les SURIAN de Provence, essai historique et généalogique ».

- L’historique du 159è RI,

- Le journal de Marche et des opérations (JMO), p.42 et suivantes.

- http://cavalbatmarne.free.fr/prog1999.htm, décrivant une partie des combats ; le texte est probablement de J.Védovati.

 

Selon les sources, c’est l’abréviation RI ou RIA (pour Alpin) que est utilisée pour parler du 159ème régiment d’Infanterie.

 

 

 

 

 

GustaveDeSurianDeBrasWAlfred Eudoxe Joachim Gustave de SURIAN de BRAS est né à Marseille le 7 décembre 1883. Gustave était son prénom d’usage. 

 

Parcours (jusque 1917) :

 

Élève à l’École Spéciale Militaire Saint-Cyr, il sort 2ème de promotion en 1903.

Sous-lieutenant en 1906 puis lieutenant en 1908, au 18ème Régiment de Dragons.

Affecté au 2ème Régiment de Chasseur d’Afrique, il prend une part active aux opérations de la Moulouya (Maroc).

 - Algérie (1910-1911)

 - Maroc (1911-1912)

 - Algérie (1912-1913)

 

Envoyé en 1913 à l’École d’application de Cavalerie de Saumur, il sort major de la promotion des Lieutenant-elèves. Après un passage au 5ème Régiment de Dragons, il est détaché en décembre 1915 et passe, sur sa demande, dans l’infanterie.

 

Capitaine à titre temporaire au 8ème Bataillon de Chasseur à Pieds, il est alors blessé grièvement et affecté, après guérison, à l’État-major Général de l’Armée. Mais, à nouveau à sa demande, il repart  au front et est affecté à l’État-major de la 3ème Armée puis rejoint à nouveau l’infanterie en octobre 1917.

 

 

Ses distinctions :

 

Médaille Nationale Commémorative des opérations au Maroc avec l’agrafe « Maroc »,

Croix de Guerre avec palme à l’ordre de la 3ème Armée,

Chevalier de la Légion d’honneur,

Cité trois fois à l’ordre de l’Armée,

Cité à l’ordre de la 77ème Division d’Infanterie.

 

 

Son parcours à partir de 1917 :

 

 

SURIAN s'illustre  près de Saint-Quentin (Aisne). Puis ce sera sur le site du Plémont, à 10 km au nord de Compiègne, qui était en lignes allemandes de 1914 à 1917,  puis françaises en mars 17.

 

Extrait de l’ouvrage en cours d’édition :

«… Passé dans le 159ème Régiment d’Infanterie en octobre 1917, il [Gustave de Surian] se bat au château de Coucy et devant Saint-Quentin. Puis la bataille cesse.

Gustave de SURIAN, qui a prouvé alors ses forces, demande un commandement. Le 20 décembre 1917, ses vœux sont exaucés et il est promu chef d’escadron du 2ème  bataillon du 159ème RI.

Le Commandant de SURIAN sera au « Plémont » ce qu’il a été au « Mort-Homme », avec « une autorité plus sûre encore, une meilleure grâce, un charme plus agissant. Il se fera adorer de ses hommes qui le suivraient au bout du monde… » et il sera à nouveau cité à l’ordre :

« Attaqué par des forces écrasantes, [il] a mené de haute main une lutte de toute une journée par des contre-attaques réitérées  pour conserver une position capitale. [Il] a prit lui-même le commandement de sa liaison pour reprendre un observatoire occupé par l’ennemi. [Il] a fait de nombreux prisonniers et prit des mitrailleuses… ».

 

Aujourd’hui, sauf l'observatoire qui donne directement sur les ruines du château de Plessis-de-Roye, où étaient les lignes françaises de 1914 à 1917, il ne reste rien à voir sur ce "mont" de 163 mètres, qui est propriété privée.

 

 

 

·        Juillet 1918

 

cliquez pour agrandir                   

FestignyChataigniersWWAujourd’hui, le Flagot n’est qu’un ruisseau. mais par le passé, il a creusé une vallée conséquente qui, d’une crête à l’autre, nous vaut des dénivelés de près de 200 m. Depuis la crête de Huche-Perdrix, à la cote 208, on domine cette vallée avec, dans le creux, Festigny-les-Hameaux (aujourd’hui Festigny). L’éperon qui nous fait face se dresse comme une forteresse, couvert par le bois des Châtaigniers et, sur son côté ouest, par les pâtis de Cerseuil.

 

La photo ci-contre a été prise le 25 novembre 2008, ce qui explique les quelques traces de neige et l’atmosphère cotonneuse sur l’horizon, sans doute éloignée de celle de juillet 1918. De même, les pâtis, n'étaient pas, comme aujourd'hui, plantés de résineux. Il s'agissait alors d'un plateau utilisé pour le pacage des animaux.

 

Carte IGN

 

En juillet 1918, le bois des châtaigniers constitue notre 2ème ligne. C’est le 56ème Bataillon de Chasseurs à Pied (BCP) qui a  mission d'en assurer la défense. Au-delà, vers l'ouest et le nord-ouest, le 33ème R.I.C. assure la 1ère ligne de défense sur le bois du Crochet, Cerseuil et sur la vallée de la Marne : Troissy, Mareuil-le-Port, Port-à-Binson.

 

 

·        Le 15 juillet

 

Mais le 15 juillet, dès 0h10, l’ennemi déclenche la friedensturm, déluge de feu, et passe la Marne. 

 

Extrait de l’ouvrage en cours d’édition :

Le 15 juillet, l’ennemi, par une double attaque, a voulu encercler la montagne de Reims et atteindre d’une part Châlons et d’autre part Épernay. Il a totalement échoué devant l’armée Gouraud, mais a mieux réussi sur sa droite à franchir la Marne et marche désormais vers Épernay. Il est arrêté sur la ligne Mesnil-le-Huttier et Festigny-les-Hameaux. Il a devant lui le 14ème groupe de chasseurs à pied (56ème, 60ème et 61ème bataillons) de la 77ème division.

 

 

En fin d'après-midi, toutes nos premières positions sont tombées aux mains des allemands. Des éléments du 33ème R.I.C. et du 66ème Bataillon de Tirailleurs Sénégalais qui tenaient le bois du Crochet se replient et se joignent aux défenseurs des Châtaigniers ainsi que d'autres éléments assez disparates.

Dans la soirée, plusieurs attaques allemandes sont repoussées. En début de nuit, nouvelles tentatives venant de Cerseuil et des environs du Moulin Nantay (au nord-est de Festigny). De petits groupes d'allemands parviennent à prendre pied dans les fourrés en lisière du bois. Les artilleries ne tirent pas, aucune ne connaissant l'emplacement des lignes. et les escarmouches se prolongent, ponctuées de fusillades plus ou moins vives.

 

Dans la nuit, le 56ème B.C.P. et les éléments qui s'étaient joints à lui, reçoivent l'ordre de se replier en arrière. L'ordre d'abandonner le bois des Châtaigniers a-t-il été donné à la suite de renseignements signalant une situation très dramatique ? Il serait intéressant d'en trouver la raison et par qui il a été donné. L'ordre sera promptement exécuté, les allemands occupent dès lors le bois des Châtaigniers d'où ils pourront surveiller toute la vallée du Flagot.

 

 

·        Le 16 juillet

 

Tôt le matin, le 159ème R.I. reçoit l'ordre de reconquérir le bois des Châtaigniers puis le bois du Crochet.

 

Le régiment s'avance et prend ses dispositions de combats. Les 1er et 3ème bataillons, à partir du fond du vallon de Festigny, montent à l'assaut du bois. Le 2ème bataillon, commandé par le Commandant de SURIAN, est en soutien sur la crête de Huche-Perdrix. Il ne s'avancera que pour tenir le bois des Châtaigniers après que les 1er  et 3ème bataillons l'auront enlevé et partiront à l'assaut de celui du Crochet.

 

Sur la crête de Huche-Perdrix, ce 16 juillet 1918, il y a beaucoup de monde ; le bataillon de de SURIAN, mais aussi des éléments des 56ème et 61ème B.C.P., des Cavaliers, des Coloniaux. De cette position, on peut apercevoir nos soldats des 1er et 3ème bataillons grimper la colline des Châtaigniers sous le feu des mitrailleuses qui les clouent au sol et finalement arrêtent leur progression.

Sous ces feux meurtriers, les Alpins sont contraints de renoncer à l'assaut.

 

Les observateurs allemands ont remarqué cette concentration de troupes sur la crête de Huche-Perdrix. Brusquement, la colline est prise sous un déluge d'artillerie. C'est un véritable carnage.

Le Commandant de SURIAN est tué ainsi que 17 de ses hommes. Pour cette journée, les pertes du 2ème bataillon, en soutien, sont plus élevées que celles des 1er et 3ème dans l'assaut.

 

Extrait de l’ouvrage en cours d’édition :

 

« Le commandant de SURIAN, accompagné de sa liaison - cette même liaison qu’il avait conduite à l’attaque sur le Plémont -, se porte sur la cote 208 afin d’observer le terrain.

 

[...] Le commandant de SURIAN dictait ses ordres à son adjudant de bataillon lorsqu’un obus éclata tout près de lui, lui déchiquetant le corps. Sa tête seule était restée intacte. Il n’avait pas crié. Son visage calme, souriait. »

 FicheGdeSurianW

 

La mort du commandant de SURIAN est annoncée à la Division tout entière par l'ordre du jour suivant :

 

 

Ordre général n° 26. Le commandant de SURIAN a été tué hier. On pouvait lui appliquer les termes de la citation mortuaire du général Barbot : « Soldat sans peur et sans reproche ». Il était le modèle du chevalier français. La Division salue en lui une des figures qui, à jamais, feront sa gloire.

SERRIGNY, Général commandant la 77ème Division.

 

Le 159ème RI attaquera tous les jours sous des bombardements de la plus grande violence et dans les gaz.

Le 19, son effort est encore brisé de façon meurtrière par le feu des mitrailleuses ennemies depuis les boqueteaux de Leuvrigny. Mais l'ennemi, sous ces coups répétés, chancelle, et le 20, dans une attaque pleinement réussie, il est finalement rejeté au-delà de la Marne.

 

Cliquez pour accéder à la fiche sur le site ‘Mémoire des hommes’.

 

 

 

Du 15 au 20 juillet, le Journal de Marche du 159ème indique 63 tués et 249 blessés.

Nous avons actuellement identifié 82 soldats tombés sur cette période.

 

Il existerait également des écrits d’Henry Bordeaux décrivant la carrière et les combats du commandant de SURIAN ainsi que le récit du dernier combat, près de Dormans.

 

 

 

 

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·        L’inhumation

 

Le 21 juillet, le Journal de Marche et des Opérations (JMO) indique :

 

« Les mouvements sont terminés et le régiment est en formation de rassemblement dans la forêt communale d’Igny-le-Jard (Aujourd’hui Igny-Comblizy). [...] Le 159è RI est embarqué à partir de 14h dans la région sud-est de l’arbre Napoléon ».

 

CimetiereDeSurianW 

C’est probablement à cette date que fut  établi le « cimetière de SURIAN », à 500m  de là. Le commandant de Surian est alors inhumé auprès de 21 chasseurs alpins du 159ème RI (il avait toujours souhaité être enterré parmi ses soldats).

 

Comme semble l’attester ces photos, ce cimetière n’était pas voué à disparaître, l’hommage se voulait durable. Cependant pour des raisons de commodité d’accès et d’entretien, c’est à la demande et aux frais de la « marquise de Surian » son épouse, que les sépultures du « cimetière de SURIAN » furent déplacées en la nécropole de Dormans en mai-juin 1920.

 

                          Cliquez pour agrandir.

Aujourd’hui, le lieu de ce cimetière en forêt de Vassy est toujours indiqué sur les cartes IGN.

 

 

·        Le souvenir

 

À Dinard (35), le Commandant de Surian est inscrit sur le monument aux morts de la ville, en raison des attaches familiales de son épouse.

croixGDeSurianW

À Festigny, une croix de bois fut placée dans le bois de Huche Perdrix, à l’endroit même où le Commandant de SURIAN fut trouvé mort.

Un an après ces terribles évènements, une stèle fut offerte par son régiment et installée, venant en remplacement de la croix provisoire.

 

Photo prise

le 16 août 1918.

Stele2WW

 

 

Sur la stèle actuelle, les plaques qui informaient le passant ont malheureusement disparu.

En la personne de l’arrière petit-fils du Commandant de Surian et du maire de Festigny, nous avons deux personnes fort soucieuses de la mémoire et cette absence pourrait bien être comblée prochainement.

 

Cliquez pour agrandir.

 

 

Au cimetière militaire de Dormans, le commandant de Surian repose tombe 762.

 

20 autres soldats du 159ème sont inhumés à Dormans. Certains ne sont pas du 2ème bataillon, de même, on peut supposer que quelques compagnons de de Surian ont été restitués à leur famille.

Quoiqu’il en soit, nous associons ces 20 soldats à l’hommage à leur chef, ce qu’il n’aurait pas renié, tant il avait la réputation d’être proche de ses hommes et aimé d’eux.

Voici leur liste :

 

Nom

Grade

Date de décès

Lieu de
 décès


tombe

Précisions:  

Cla
sse

Recru
tement

Matr.

Dépt
 nais/
rési.

BARRE Louis

 

2è classe

16-juil.-18

Festigny

1127

Tombé au bois des châtaigniers

1915

Narbonne

12370

11

BOUISSET Paul Louis (Philippe?)

Soldat

19-juil.-18

Leuvrigny

703

Tombé au bois des châtaigniers

1915

Carcassonne

279

81

BURGAUD Henri Jean Pierre

Soldat

16-juil.-18

A3/54

124

Décédé à l'ambulance

1914

La Roche
/Yon

1961

85

CANEL Jean Léon

 

Soldat

16-juil.-18

Festigny

1125

Tombé au bois des châtaigniers. Inscrit sur la plaque de l'église à "Léon" (un CANEL Jean est inscrit, mais c'est un autre)

1913

Narbonne

858

11

CHARBONNIER Emile Henri

Sergent

20-juil.-18

Leuvrigny

863

 

1910

Bourgoin

361

38

CHARREYRE Jean Etienne

Caporal

20-juil.-18

Leuvrigny

335

 

1908

Seine 3b

2082

75

CHAUVET Henri Ernest Martin

Sergent

16-juil.-18

Festigny

187

Tombé au bois des châtaigniers

1910

Gap

42

05

De SURIAN Alfred Eudoxe Joachim Gustave

Chef de bataillon

16-juil.-18

Festigny

762

2è Bataillon tombé au bois des châtaigniers

1903

Marseille

634

13

DEGALLE Jean Maurice Alexandre

Ss-lieut.

20-juil.-18

A8/17

443

Décédé à l'ambulance de Mareuil-en-Brie, mais semble-t-il, pas tombé au bois des châtaigniers.

1913

Dunkerque

731

08/75

DUMONTEL Gustave Lucien

Soldat

16-juil.-18

Festigny

434

Tombé au bois des châtaigniers

1909

Montélimar

25

26/07

FAURE Pierre

 

1è classe

18-juil.-18

Leuvrigny

866

 

1916

Toulouse

84

31

FILLINGER Nicolas

Soldat

17-juil.-18

Festigny

33

Tombé au bois des châtaigniers (Mdh indique Leuvrigny)

1903

Epinal

431

57/88

FORGUE Joseph Marie Noël Antoine François

Soldat

16-juil.-18

Festigny

188

Tombé au bois des châtaigniers, Inscrit au Mam d'Aspin-Aure(65)

1916

Tarbes

201

65

GRILLAT Alexandre Auguste Joseph

Sergent-f.

17-juil.-18

Festigny

184

Tombé à Leuvrigny pour Mdh, en fait, tombé au bois des châtaigniers

1910

Bourgoin

438

38

HEMERY Auguste Joseph Marie

Soldat

16-juil.-18

Festigny

110

Tombé au bois des châtaigniers

1911

Brest

2150

29

INNOCENTI Joseph François Louis

1è classe

19-juil.-18

Leuvrigny

1205

Tombé au bois des châtaigniers

1915

Ajaccio

1635

20

LAPLACE Jean Baptiste

2è classe

16-juil.-18

Festigny

106

Tombé au bois des châtaigniers

1917

Saint-Etienne

459

42

MERLET Joseph Louis

Caporal

16-juil.-18

Festigny

802

Tombé au bois des châtaigniers

1915

Parthenay

346

79

ODDOU Joseph Albert

Soldat

16-juil.-18

Festigny

112

Tombé au bois des châtaigniers. Inscrit au Mam d'Aspremont (05)

1913

Gap

908

05

THIMEL Jean Baptiste

Soldat

16-juil.-18

Festigny

820

Tombé au bois des châtaigniers

1918

Chambéry

1597

73

VIOLLOTTE Robert Alfred

Soldat

16-juil.-18

Festigny

681

Tombé au bois des châtaigniers. Inscrit au livre d'or de Paris, 10è arrondissement (75)

1915

Seine 1b

798

75

 

 

En juillet 1998, lors des cérémonies commémoratives du 80ème anniversaire de la 2ème bataille de la Marne, un détachement du 159ème R.I.A. leur ont rendu les honneurs puis s’est rendu sur l’emplacement de la stèle.

 

 

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·        Informations annexes

(annexes car elles s'éloignent de la période de la grande Guerre)

 

 

- Aujourd’hui, une rue de Marseille du 7ème arrondissement porte son nom, près du cours Pierre Puget où il est né le 7 décembre 1883.

 

- Les SURIAN (de) sont une ancienne famille patricienne de la République de Venise, originaire de Tyr en Syrie, dont une branche s’installa en Provence au début du XIVème siècle. Elle donna par la suite, outre de nombreux consuls et échevins, un évêque de Vence : Mgr Jean-Baptiste de Surian, membre de l’Académie Française ; un médecin-chimiste-herboriste : Joseph-Donat de Surian ; un premier échevin de Marseille : Joachim de Surian, seigneur du marquisat de Bras, anobli en 1777 ; un député des Bouches-du-Rhône et membre de l’Académie de Marseille : Alfred de Surian-Bras.

 

- Claude-Joachime de Surian de Bras, la fille du commandant de Surian, épousera en 1942 le comte Olivier d’Ormesson, homme politique, fils du diplomate et membre de l’Académie Française le comte Wladimir d’Ormesson.

 

- Il sera question d’une courte notice sur Gustave de Surian dans le prochain ouvrage du généalogiste Luc Antonini au tome IV  des « Grandes Famille de Provence » dans le chapitre qui est consacré à la famille Surian de Bras (de).

 

 

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